mercredi 27 août 2008

Le savoir-faire anglais




C'est bizarre, j'ai entendu parler des Last Shadow Puppets pour la première fois sur le blog de mon pote Guindon, pas que c'est son genre de musique particulièrement, mais plutôt pour l'admiration sans borne qu'il voue à Romain Gavras, réalisateur du clip du premier single du même groupe: The age of the understatement.

Moi c'est pas du réalisateur de clip dont je veux vous glisser un mot, mais plutôt du talent de compositeurs que possède les deux mecs qui sont à la barre de ce sideproject de luxe. Impossible évidemment d'omettre l'influence frappante beatlesque, à vrai dire, si on ne savait pas le contraire, on pourrait jurer que George Martin lui-même à produit l'album.

Tout ça, ça m'a rendu nostalgique, je me suis rappelé que j'avais déboursé 80$ pour avoir mon billet du spectacle du 5 septembre prochain au centre Bell. À une époque de ma vie, il n'y avait que ce qu'y sortait de la Grande-Bretagne qui musicalement avait de la valeur à mes yeux. Faut dire qu'ils ont innovés dans beaucoup de styles, que ce soit dans le rock n roll, mais rapellons nous aussi de la vague de trip-hop de Bristol au coeur des années 90 avec des groupes phares comme Massive Attack, Portishead et Tricky. Bref à travers toutes les époques, la musique britannique s'est toujours forcé d'innover, comme beaucoup d'autres vous me direz, mais bon, moi c'est celle que je préfère.

Mais revenons-en à nos moutons, la pièce que je vous présente maintenant, en version électrique et acoustique, serait à mon sens l'ultime preuve du savoir-faire anglais en matière de composition. Vous pouvez repasser avec vos comparaisons aux Beatles et autres facsimilé, faites-vous donc plaisir et arrêtez-donc de crier au vol. On se sent coupable mais tellement bien à la fois une fois que c'est terminé, qu'on fini par recommencer.



jeudi 14 août 2008

La fierté Georgienne

Quand tu vois ça, tu sais que ça vient d'un des "pays de l'est". La journaliste Géorgienne Tamara Urushadze se fait tirer dans le bras pendant un reportage et elle RESTE EN ONDE. Elle explique sa blessure et dit que c'est un con de sniper qui lui a tiré dessus.

On s'entend-tu pour dire que ce genre de volonté-là n'existe que dans ces pays-là?